Les avis
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💬 Belle église avec un clocher séparé de la chapelle. Quelques escaliers menant au clocher en granit marqueté.
💬 Quand j'ai séjourné dans celui-ci après avoir séjourné à Alvito, Vila Viçosa, Evora et Alcacer do Sal, j'ai trouvé que l'attention du personnel et de la chambre était bien en dessous des normes.
💬 Poulet excellent !!! par contre le poulet à la sauce piquante, on ne sent pas le piquant.. il est juste badigeonné vite fait au pinceaux avant de vous l'emballer ce qui empêche le poulet d'en être imprégner et de le ressentir. Ne pas y aller trop tard car vite la file d'attente sinon commander très tôt et aller le chercher ensuite (commande prioritaire sur le passage)
💬 Très mignon petit Airbnb. L'hôte vit dans la maison - cuisine et salon communs, ainsi que terrasse. Avec plaisir encore
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💬 Très bon, nous avons passé un agréable moment. Le service est efficace !!! A l’écoute et surtout très rapide. Faites attention à toutes les entrées qu’ils vous servent car elles sont toutes payantes!!! (N’hésitez pas à refuser) Je recommande!
💬 Quand nous sommes arrivés, il a fallu une minute pour que quelqu'un nous reconnaisse. Nous n'avions pas de réservation, ils nous ont ouvert un espace supplémentaire. Nous avons commandé un verre de vin blanc local de Pico. La nourriture a pris un peu de temps. Les poissons (thon et morue) étaient trop cuits et les légumes pas assez cuits. Cela ne vaut pas la peine de revenir ici, de meilleurs restaurants à moitié prix. Nous avons payé 58 euros pour 2 verres de vin et de poisson. Pour moi, c'était un peu trop cher et un piège à touristes. Le service était correct mais les sourires étaient difficiles à trouver.
💬 On est arrivé en diligence, après 4 jours de voyage, sous le déluge du Nord. Ca aurait pu. Je ne savais pas trop ce que je faisais là, juste l'envie de disparaitre dans les replis des montagnes de Montesinho. J'ai traversé le village à la recherche d'une chambre, d'un lit. Rosa m'a trouvé allongé sur un banc de pierre. Les vieux traversaient en boitant, les seaux remplis de marrons. D'autres se rejoignaient dans la cabane qu'ils avaient dressée face à l'abreuvoir de la place, dénudée comme le sont les vies âpres. Le café où il n'y avait rien à boire ni rien à manger appella la mère qui appella le mari pour me couper un quignon de pain et partir m'égarer dans les montagnes. Violentes et immenses. Flamboyantes et discrètes. Une famille espagnole n'a pas réussi à descendre la paroi rocheuse savonnée par l'automne. Personne ne les a vus regagner le village avant la nuit. Ils ont dû attendre les loups. Et alors le soir, dans cette vie d'un siècle replié sur lui-même, lointain et pur, le soir, dans l'obscurité de la fin des temps, j'ai traversé le village à la recherche d'un plat chaud. Il y avait Edra. Et l'impression d'être un miraculé, d'être repêché au fond d'un océan lointain. Et la chaleur du pain et le beurre et la crème de marron et le riz et la viande et les concombres et le vin et la vie qui peuple les maisons aux pierres sombres, isolées au milieu des montagnes, invisibles aux yeux du monde
💬 Je n’ai jamais mangé des falafels aussi mauvais